Le prétérit
I. Les terminaisons du prétérit en Allemand
Quelles sont les terminaisons du prétérit en Allemand ?
Ich | Ø |
Du | st |
Er/sie/es | Ø |
Wir | n |
Ihr | t |
Sie/sie | n |
II. Les auxiliaires en Allemand
Quel est le prétérit des auxiliaires en Allemand ?
Il suffit d’apprendre un modèle pour chaque auxiliaire :
– Pour l’auxiliaire « haben », on a « ich hatte ».
– Pour l’auxiliaire « sein », on a « ich war ».
– Pour l’auxiliaire « werden », on a « ich wurde ».
On peut s’aider de l’anglais pour les auxiliaires « haben » et « sein » avec au prétérit « i had » et « i was ».
III. Les verbes de modalités en Allemand
Quel est le prétérit des verbes de modalités en Allemand ?
Ils permettent d’indiquer les modalités d’une action : pouvoir, devoir, vouloir, etc. Voici quatre modèles à apprendre qui peuvent aider pour la conjugaison des autres personnes :
– Pour « müssen » (comme « dürfen »), on retire le « umlaut » et on a « ich musste » au prétérit.
– Pour « sollen » (comme pour « wollen »), on a « ich sollte » sans « umlaut ».
– Pour « können », on a « ich konnte ».
– Pour « mögen », on a « ich mochte ».
Sur tous les verbes de modalité, au prétérit, on enlève le « umlaut ».
IV. Les verbes faibles en Allemand
Quel est le prétérit des verbes faibles en Allemand ?
Il faut regarder si le verbe ne figure pas sur la liste des verbes forts. S’il n’y figure pas alors c’est un verbe faible. Ils sont plus simples à conjuguer (par exemple « spielen »).
Pour conjuguer un verbe faible au prétérit, on commence par prendre le radical du verbe (par exemple pour « spielen » c’est « spiel- »). Ensuite on vient intégrer le suffixe « -te » qui permet de marquer le prétérit (« spielte »). Finalement, on ajoute la terminaison verbale du prétérit. Cela dépend de la personne. Pour « ich », elle n’existe pas.
V. Les verbes forts en Allemand
Quel est le prétérit des verbes forts en Allemand ?
Ils sont tellement forts qu’ils possèdent eux-mêmes leur propre terminaison du prétérit contrairement aux verbes faibles. Ici, le radical se trouve sur la liste des verbes forts.
Par exemple pour le verbe « aller » qui est « gehen », on a « ging ». On y ajoute la terminaison du prétérit selon la personne. Avec « ich », il n’y en a toujours pas. Avec « du », on a « du gingst ».